CINEMA NIGERIEN
LES ORIGINES
Le Niger par le cinéma, ce fut d’abord l’ethnographe français Jean Rouch, arrivé en 1941 comme ingénieur des Ponts et Chaussées.
En 1947 déjà il réalise « Au Pays des mages noirs », en 1948
« l’Initiation à la danse des possédés »,
et « Les Magiciens de Wanzarbé » suit en 1949.
Jean Rouch fait plus tard la connaissance d’un jeune nigérien démobilisé d’Indochine et en quête de travail, Oumarou Ganda. Acteur vedette de Jean Rouch dans « Moi un noir » (1957), puis assistant réalisateur, Oumarou Ganda sera le premier grand réalisateur nigérien de films de fiction.
Jean Rouch a trouvé la mort au Niger des suites d’un accident de la route dans la nuit du 18 au 19 février 2004.
LES SUCCES
Le cinéma nigérien a connu sa première consécration avec Moustapha Alassane qui a obtenu le prix de dessin au premier Festival mondial des Arts nègres à Dakar en 1966, avec « la Mort de Gandji ».