Critiques tirées de Télérama et autres magazines dont Allociné et Première
TELERAMA AIME BEAUCOUP
Cotation 4/5
"L’attentat" _ Réalisé par Ziad Doueiri - Drame - Avec Ali Suliman, Reymond Amsalem, Evgenia Dodena- Durée :1h45min - Pays de production : Belgique France Liban Qatar - Année de production : 2012
Critique : Pariscope ( Arno Gaillard) - Ce film du Libanais Ziad Doueiri est une nouvelle preuve que le cinéma peut apporter sa pierre à ce conflit qui oppose depuis de trop nombreuses décennies les hommes en Israël. Ali Suliman incarne superbement ce médecin tiraillé entre sa culture d’origine et son pays.
Note de la Presse : 4.0/5
Note des spectateurs 3.5/5
Synopsis : Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme fait exploser une bombe qu’elle dissimule sous sa robe de grossesse. Toute la journée, le docteur Amine, israélien d’origine arabe, opère les nombreuses victimes de l’attentat. Au milieu de la nuit, on le rappelle d’urgence à l’hôpital pour lui annoncer que la kamikaze est sa propre femme. Refusant de croire à cette accusation, Amine part en Palestine pour tenter de comprendre. D’après l’oeuvre de Yasmina Khadra
"Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir " Réalisé par Kiyoshi KUROSAWA - Drame - Avec : Yû Aoi, Eiko Koike, Kyoko Koizumi - Durée : 2h2min - Pays de production : Japon - Année de production : 2012
Critique : Premiere - Stéphane Delorme
Drôle d’idée de sortir cette minisérie prévue pour une diffusion télé. Après un prologue qui décrit le traumatisme, quatre chapitres sont dédiés à chacune des femmes, quinze ans après les faits. Entre chronique déprimée et mélodrame extravagant, ils composent une étude lourdement symbolique sur le thème de l’innocence perdue. Tel quel, l’ensemble étant trop long à projeter d’une seule traite, le distributeur a donc décidé de sortir la saga en deux parties : Celles qui voulaient se souvenir et Celles qui voulaient oublier (en salles le 5 juin). Le problème est qu’il est impossible de saisir le second volet sans avoir vu le premier. Pourtant, une version courte aurait pu être aisément montée en se concentrant sur les deux personnages les plus intéressants : une enseignante (jouée par la chaleureuse Eiko Koike) et la mère de la fillette, dont on découvre l’invraisemblable passé.
Note de la Presse : 3.5/5
Note des spectateurs 3.5/5
Synopsis : Dans la cour d’e ?cole d’un paisible village japonais, quatre fillettes sont te ?moins du meurtre d’Emili, leur camarade de classe. Sous le choc, aucune n’est capable de se souvenir de l’assassin. Asako, la mère d’Emili, de ?sespe ?re ?e de savoir le coupable en liberte ?, convie les quatre enfants chez elle pour les mettre en garde : si elles ne se rappellent pas du visage du tueur, elles devront faire pe ?nitence toute leur vie. Quinze ans après, que sont-elles devenues ? Sae et Maki veulent se souvenir.
TELERAMA AIME UN PEU
Cotation 3/5
" La dernière fois que j’ai vu Macao (A Ultima Vez Que Vi Macau ) " - Réalisé par Joao Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata - Thriller - Documentaire - Avec : Cindy Scrash, João Rui Guerra da Mata, Joao Pedro Rodrigues - Durée :1h25min - Pays de production : France Portugal Année de production : 2012
Critique : Journal du dimanche ( Alexis Campion)
C’est contemplatif, très beau. Enigmatiques, les voix off tricotent un polar improbable dont les protagonistes clés, qui craignent pour leur vie, restent invisibles. Ce mélange fort bien tenu est déroutant, envoûtant, à condition d’en accepter les règles et le rythme distendu.
Note de la Presse : 3.5/5
Note des spectateurs 2.8/5
Synopsis : Je me rends d’urgence à Macao suite à l’appel à l’aide de mon amie Candy. Trente ans me séparent de cette terre de mythes et superstitions. A bord du bateau qui me ramène sur ces anciennes rives portugaises, je me surprends à remonter le temps jusqu’à la période la plus heureuse de ma vie. A mon arrivée, Candy a disparu. Une armée de tigres moqueurs semble terroriser les esprits...
"Vanishing waves" - Réalisé par Kristina BUOZYTEet Bruno Samper - Science Fiction - Avec Brice Fournier, Sharunas Bartas, Philip LENKOWSKY - Durée : 1h45min - Pays de production : Lituanie - Année de production : 2012
Critique : New York Post (Farran Smith Nehme)
Les thèmes exploités, sur l’incapacité de prendre conscience d’un amour enfoui ou des fantasmes les plus défendus, sont intéressants. Dommage que l’impact soit diminué pas un manque d’énergie.
Note de la Presse : 2.8/5
Note des spectateurs 3.4/5
Synopsis : Lukas, un jeune scientifique, participe à une expérience inédite dans le domaine de la recherche neurologique : entrer en communication avec l’esprit d’une femme, Aurora, plongée dans le coma à la suite d’un accident de voiture. Au début, il ne perçoit que des sons et des images confuses, avant de rencontrer la femme inconnue. Contrevenant aux règles du protocole de recherche, il cache sa découverte au reste de l’équipe scientifique. A chaque nouvelle connexion, Lukas plonge davantage dans l’univers fantasmatique d’urora, avec laquelle il développe une relation exclusive et fusionnelle, en marge du monde ?réel ?. Mais ce que Lukas prend pour un amour partagé, dans cet ?autre monde ?, repose en fait sur une méprise : Aurora croît reconnaître en Lukas son ancien amant, tué dans l’accident. Un passé lourd de menaces s’nterpose peu à peu entre Lukas et Aurora.
"Ginger et Rosa" - Réalisé par Sally Potter - Drame- Avec : Elle Fanning, Alice Englert, Annette Bening - Durée : 1h30min - Pays de production : Grande-Bretagne - Année de production : 2012
Critique : Télé 7 jours (Philippe Ross)
Sally Potter brode sur le talent, l’engagement politique, la découverte de la sexualité et la fin de l’’innocence, avec la complicité de deux jeunes actrices éblouissantes, Elle Fanning (soeœur de Dakota) et Alice Englert (fille de la réalisatrice Jane Campion)
Note de la Presse : 3.2/5
Note des spectateurs : 3.4/5
Synopsis : A Londres dans les années 60, Ginger et Rosa, deux ados inséparables, vivent ce moment unique du passage de l’enfance à l’âge adulte. Entre parano de la guerre froide et apprentissage de la liberté, révolution sexuelle et féminisme politique, blue jeans délavés et rock contestataire, cigarettes et premiers baisers, elles entrent en rébellion contre leurs mères, pour finir par se déchirer, irrémédiablement.
"Polluting Paradise" Réalisé par Fatih Akin - Documentaire - Durée : 1h38minè- Pays de production : Allemagne - Année de production : 2012
Critique : Elle ( Helena Villovitch)
Ce qui émeut et révolte quiconque regarde ces images, c’est l’inéluctabilité de la catastrophe écologique et humaine. Un film peut-il lutter contre la pollution ? En tout cas, il peut la dénoncer.
Note de la Presse : 2.8/5
Note des spectateurs : 3.0/5
Synopsis : En 2006, Fatih Akin tourne la scène finale de son film De l’autre côté à Camburnu, village natal de ses grands-parents au nord-est de la Turquie, où les habitants vivent depuis des générations de la pêche et de la culture du thé, au plus près de la nature. Il entend alors parler d’une catastrophe écologique qui menace le village : un projet de décharge construit dans un mépris total de l’nvironnement et contre lequel s’élèvent le maire et les habitants. Il décide de lutter avec ses propres moyens. Pendant plus de cinq ans, il filme le combat du petit village contre les puissantes institutions et témoigne des catastrophes inéluctables qui frappent le paradis perdu : l’air est infecté, la nappe phréatique contaminée, des nués d’oiseaux et des chiens errants assiègent le village. Pourtant, chaque jour, des tonnes d’ordures sont encore apportées à la décharge. Le film est à la fois un portrait remarquable de la population turque des campagnes, et un émouvant plaidoyer pour le courage civique.
" L’harmonie familiale" - Réalisé par : Camille de Casablanca - Comédie - Avec :Georges Corraface, Sophie DESCHAMPS, Philippe Caubere - Durée : 1h12min - Pays de production : France - Année de production : 2013
Critique : Télérama (C.M.) Après "C’est parti" , documentaire sur le NPA d’Olivier Besancenot, Camille de Casabianca renoue avec la fiction : cette comédie en quasi-huis clos reprend tous les clichés de la famille dysfonctionnelle. Mais c’est savoureux et amer.
Note de la Presse : 1.0/5
Note des spectateurs : 3.1/5
Synopsis : Agitée de sentiments contradictoires, Laurence s’apprête à recevoir la petite famille qui converge chez elle pour un réveillon de Noël où l’on a décidé de ne pas se faire de cadeaux.Tandis que Béatrice et Jean débarquent de Gif-sur- Yvette, René arrive tout droit de l’hôpital psychiatrique et Victoire sort de Sciences Po. Emile, lui, descend d’un « cloud ». Quant à Casimir, il émerge d’ ?un lieu qu’il tient secret. L’équilibre délicat de la soirée sera-t-il bouleversé par l’arrivée d’un invité supplémentaire ?
TELERAMA N’ AIME PAS MAIS CE N’EST PAS NE RAISON POUR LE VOIR
Cotation 2/5
" Heavy girls (Dicke Mädchen) " Réalisé par Axel Ranisch - Comédie - Avec : Ruth Bickelhaupt, Heiko Pinkowski, Peter Trabner - Durée : 1h16min - Pays de production : Allemagne - Année de production : 2011
Critique : Ecran Large ( Simon Riaux)
Axel Ranisch emballe une improbable comédie romantique, où s’entremêlent sensibilité, mauvais goût et tendresse. Lourd, mais capiteux comme un strudel à la crème.
Note de la Presse : 3.2/5
Note des spectateurs : 3.1/5
Synopsis : Sven habite depuis toujours avec sa vieille mère atteinte d’alzheimer dont s’occupe Daniel, son meilleur ami.A la mort de celle-ci, les deux hommes vont se rapprocher et s’avouer leurs sentiments
TELERAMA N’ A PAS DONNE D’AVIS, A VOUS DE JUGER
"Very Bad Trip 3" Réalisé par :Todd Phillips - Comédie - Avec : Zach Galifianakis, Bradley Cooper, Ed Helms - Durée : 1h40min - Pays de production : Etats-Unis- Année de production : 2013
Critique : Public (Florence Roman)
Philipp Todd réussit à se renouveler tout en gardant intact la puissance comique de ses personnages (...) La saga au milliard de dollars de recettes tire sa révérence avec panache.
Note de la Presse : 1.0/5
Note des Spectateurs : 4.3/5
Synopsis -
Suite et fin des aventures de Phil, Stu, Alan et Doug. Cette fois, il n’y a pas de mariage, ni de fête d’enterrement de vie de garçon. Qu’est-ce qui pourrait donc bien dégénérer ? Mais quand la petite bande du "Wolfpack" s’en mêle, il faut être prêt à tout.
"The Call " Réalisé par : Brad Anderson - Thriller - Avec :Halle Berry, Abigail Breslin, Morris CHESTNUT- Durée : 1h35min - Pays de production : Etats-Unis - Année de production : 2012
Critique : Journal du dimanche (Stéphanie Belpêche)
Ce thriller urbain crée une tension dès les premières minutes. L’histoire, qui se déroule en temps réel, relance sans arrêt l’ntérêt du spectateur, happé par cette course contre la montre. Malgré un dénouement un peu caricatural, ce regard sur la criminalité ordinaire demeure terrifiant.
Note de la Presse : 2.5/5
Note des Spectateurs : 3.6/5
Synopsis : Une adolescente est kidnappe ?e par un tueur en se ?rie. Pour la sauver, une ope ?ratrice d’un centre d’appel d’urgences va affronter ses propres peurs lie ?es à une trage ?die de son passe ?. Leur seul lien : un te ?le ?phone portable. Une course contre la montre commence... Chaque appel pourrait bien être le dernier.